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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 00:48

cristiano_lucarelli_hn223.jpg

Après un an d'hésitation, Overblog c'est terminé !

La nouvelle version aura motivé définitivement la migration.


Pour retrouver toutes les news du Spartak Lillois vous pourrez désormais cliquer sur :

 

http://spartaklillois.org/

 

Merci aux 13 536 visiteurs qui sont passés nous voir, on vous attend encore plus nombreux dans notre nouveau chez nous !

 

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 22:10

Le Spartak Lillois est signataire de l'appel à la marche des dominés pour l'égalité et contre le racisme qui aura lieu ce samedi 30 Novembre de Lille à Roubaix.

N'hésitez pas à venir nombreux réaliser l'unité de tous ceux qui subissent dominations, stigmatisations, exploitations, racisme, sexisme, ... Soyons nombreux, unis, déterminés !

http://www.lesfiguresdeladomination.org/images/Marchedesdomin%C3%A9es.jpg

 

http://www.lesfiguresdeladomination.org/images/Tract-marche.jpg

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 13:17

L'Offensive a offert une nouvelle tribune au Spartak Lillois pour son numéro de novembre décembre. L'occasion de faire un premier bilan sportif depuis septembre mais aussi de représenter l'association.

spartak_lillois.jpg

Cliquez sur l'image pour agrandir.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 22:56

Petit rappel des faits : depuis fin octobre une centaine de Rroms a été expulsée du campus de l’Université Lille 1, sans solution de relogement, les caravanes saisies, donc tout le monde à la rue.

solidarite-roms.jpg

Face à cette situation intolérable et dégueulasse, des militants ont pris leur responsabilité (contrairement aux pouvoirs publics) et ont emmené en catastrophe les familles à la Bourse du Travail, à Fives. Ce sont les locaux des syndicaux régionaux qui ne sont évidemment pas conçus pour héberger des être-humains, mais c’est bien la réalité de la situation depuis deux semaines. Les manifestations, tables-rondes, délégations et interminables palabres se sont multipliées, mais pas de solution en vue. Ni l’Etat socialiste, ni tous les autres échelons du territoire gérés par un seul et même parti ne se sont mis d’accord pour répondre à l’urgence d’une catastrophe humanitaire, sociale et sanitaire. Ils jouent le pourrissement, nous jouons la résistance, la défense des droits et de la dignité humaine.

Dans ce contexte, le Spartak est bien peu de choses… Mais il était indispensable d’être présent et d’apporter un peu de soutien, dans un combat qui semble parfois perdu d’avance dans l’opinion. C’est donc par le biais de ce que la maison sait faire de mieux que nous entrons en scène : du Sport ! Quel meilleur vecteur que le sport pour le partage, la solidarité, la compréhension des peuples. Et surtout, c’est une échappatoire, un moment d’évasion, de défoulement, de joie. Alors pour soulager un peu les militants et les parents qui fatiguent, une troupe d’une douzaine de joyeux spartakistes est venue, avec ballons, cerceaux et quilles pour mettre un peu d’animation à côté de la Bourse du Travail ce week-end, le 10 et 11 Novembre.

Bilan des courses : une bonne tranche de rigolade, beaucoup d’émotions et d’échanges, des enfants, des ados et quelques adultes qui avaient bien besoin de se détendre les pattes et de crier un bon coup. Des belles photos immortalisées par notre photographe Leslie. Des spartakistes qui ont pu prendre connaissance de la situation sur place. Surtout l’envie de revenir là-bas. Nous souhaitons continuer à intervenir, le moins longtemps possible espérons-le, en attendant qu’une solution soit trouvée.

Face à cette situation, le sport n’est qu’un pansement. Mais c’est aussi un prétexte. Un prétexte pour se voir plus souvent. Un prétexte pour communiquer, mieux se connaître, échanger et pour se battre ensemble. C’est dans ces situations que le « sport militant » que nous défendons prend tout son sens. C’est pourquoi il doit se pratiquer sur tous les terrains, y compris le pavé. Nous serons donc présents ce Samedi 16 Novembre, à 14h30 Porte de Paris, au côté des familles et des autres militants et appelons à tous ceux qui veulent se battre pour le droit et la dignité de ces familles à se joindre au cortège. Solidarité !

Et comme on dit chez nous, il va y avoir du sport !

solidarite-rom.jpg

Retrouvez toutes les informations utiles :

Le blog du collectif de soutien

La pétition de soutien

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 09:39

La grève des patrons du foot,

symbole d'un football buisness indécent

foot-buisness.jpg

Réunis la semaine dernière en Assemblée Générale, les présidents de clubs ont arrêté le principe d'une grève contre la future taxe à 75% pour la 15e journée de ligue 1 et 16e journée de ligue 2.

La mesure en question prévoit de taxer les entreprises qui versent des salaires de plus d'1 million d'euros. Cette taxe ne devra etre versée pendant seulement deux ans et est plafonné à 5% du chiffre d'affaire de l'entreprise suite à un premier recul du gouvernement. Elle représente donc au total 44 millions d'euros dont près de 20 uniquement pour le seul PSG dont le budget avoisine les 400 millions d'euros. Ainsi, le PSG qui débourse 64 millions d'euros pour s'acheter Cavani, refuse de s’acquitter de la solidarité nationale.

 

La grève : l'arme des travailleurs, pas des patrons !

Conquête du mouvement ouvrier, le droit de grève est un droit constitutionnel acquis suite à de dures luttes syndicales, souvent sanglantes. C'est par ce droit que les travailleurs peuvent faire entendre et défendre leurs intérêts face au patronat.

C'est par ce droit de grève que les ouvriers népalais ou thailandais aimeraient protester contre l'esclavage en cours sur les chantiers de la coupe du monde 2022 au Quatar. Pourtant, nombre d'entre eux meurent sur les chantiers, sans disposer de ce droit de grève. Alors quand des nantis et des bourgeois appellent à la grève pour protéger leurs coffres fort, cela a quelque chose de révoltant et de profondément indécent !

 

Le football, prisonnier de la finance !

Depuis l’arrêt Bosman en 1995 et la libéralisation du marché du football, le montant total des transferts en Europe est passé de 400 000 euros à plus de 2 milliards d’euros. La vente et l'échange d'êtres humains représentant une valeur marchande est devenu un business juteux, au delà parfois du respect des contrats de travail. Plusieurs enquêtes démontrent que c’est l’un des marchés les plus dérégulés de la planète, avec une mainmise de la finance et une avancée inquiétante de la corruption et du blanchiment d’argent lié aux paris sportifs.

Aujourd’hui dévoré par l’argent roi et la mondialisation, le football professionnel voit les financiers devenir des acteurs primordiaux et investir beaucoup d'argent, avec une attente de forte rentabilité.

MGB-FOOT.jpgAlors que la majorité des Français souffre de la crise, du chômage, de la précarité, des bas salaires, comment accepter les transferts et salaires indécents offerts à quelques dizaines de privilégiés. Les récents propos de représentants de la Fédération française de football (FFF) et de la Ligue professionnelle de football (LFP) se félicitant de l’engouement des financiers, quelquefois venus d’horizons improbables, pour investir dans les équipes du championnat de France, confirment que le football est pour eux une source de profit avant d'être un moyen d'émancipation.

Que dire, en comparaison de ces chiffres, de celui du budget du ministère des sports en baisse de 9% en 2013 est dont la répartition indique clairement les choix politique de l'état. Sur les 232 millions de budget, 174 sont attribué au sport de haut niveau contre seulement 8 pour le « sport pour tous ».

Tant d'indécence ne peut laisser indifférent, surtout en temps de crise. Dans un sondage Ifop - l’Humanité du 25 octobre 2012, une écrasante majorité de Français (86 %) pensent que la place de l’argent dans le sport est trop importante et 79 % disent que le mot business correspond « bien » à l’image du sport professionnel.

 

Ne pas se tromper de cible

Si le désamour pour le sport buisness est flagrant, les débats que nous avons pu connaître autour de l'équipe de france de foot lors de la dernière coupe du monde montrent que médias et politiques s'entendent très bien pour détourner l'attention vers les joueurs et trouver en certaines personnalités des boucs émissaires tout trouvés. Les débats nauséabonds de l'époque montraient d'ailleurs que les idées d'extrème droite avaient trouvé des relais au delà des cercles traditionnels. Ainsi, il n'y avait pas qu'Eric Zemmour pour crier sa haine du football des métèques et des banlieues ouvrières. Les expressions ressasées dans les médias «  désastre national, bus de la honte, défaite sportive et morale » montraient une surenchère verbale omniprésente pour condamner la grève des joueurs de l'équipe de france considérés comme des traîtres à la nation. En temps de crise il est plus facile de taper sur le footballeur que sur le patron ou le banquier. Les entrepreneurs de morale avaient alors clairement désignés les coupables et les traitres au cours d'une habile opération de stigmatisation raciale : la jeunesse populaire des cités, sous éduquée, inculte, arrogante, celle qui ne chante pas la marseillaise et ne représente pas assez bien la France pendant que les financiers et dirigeants du football professionnel continuaient leurs entreprises de marchandisation du sport.

Loin de soutenir des joueurs qui effectivement individuellement pensent argent et contrat pub, et pour cause, leur situation matérielle les conditionne à ça, il faut bien voir d'où viennent les discours qui enfoncent et stigmatisent facilement certaines catégories de sportifs. Ce sont les mêmes qui stigmatisent les sportifs d'origines populaires ou issu de l'immigration qui divisent la société dans les autres champs de la vie sociale pour imposer leur domination et la marchandisation du sport.

La racaille qui rend le football malade porte des costumes et n'est pas sur le terrain ! Ce n'est pas à la bande de Ribéry qu'il faut s'en prendre mais bien à la bande de Louvel. - président de l’Union des clubs de football professionnel (UNCPF)

Ce sont les financiers, les actionnaires, les patrons du football qui sont les vrai cibles à abattre.

 

Le Sport : un enjeu d'émancipation !

A des années lumières des valeurs du foot buisness, le football et plus largement le sport ont pourtant d’évidentes vertus éducatives permettant de découvrir des valeurs de solidarité, d'émancipation, de respect. Le poids et la pesanteur du football professionnel ainsi que ses dérives ne peuvent faire oublier, heureusement, l’engagement des milliers de bénévoles et de formateurs qui œuvrent auprès des jeunes licenciés, ni celles des associations, des groupes de supporters qui luttent contre la marchandisation du sport et la promotion d'un sport solidaire et populaire.

banderole lens

Ce n'est pas par hasard si aujourd'hui les puissants du monde du football se donnent tant de mal pour réprimer le mouvement ultra, jusqu'à interdire des banderoles dans le stade qui exprimerait une opposition au foot buisness. Les banderoles du Collectif SOS Ligue 2 réclamant que les matchs aient lieu à des heures décentes (suite au rachat des droits par bein sport) sont désormais interdites par Fréderic Thiriez (Président de la LFP). Un président de ligue se permet donc de bafouer la liberté d'expression des supporters et d'interdire des banderoles pacifiques faisant des supporters des français avec des sous droits. Le mouvement de résistance des ultras est un mouvement social profond et il doit être soutenu

A notre niveau, le projet social et sportif du Spartak Lillois est de promouvoir le sport solidaire et populaire. Cela se fait par une pratique ouverte à tous sans distinction financière, sociale, religieuse, ethnique, ou de niveau de jeu ainsi que par une organisation démocratique où chacun peut décider de l'orientation de l'association. Nous tentons de montrer que la rencontre sportive à d'autres enjeux que le résultat de fin de match, et que le sport peut être un vecteur d'émancipation, tant physique qu'intellectuelle.

Alors le Week end prochain, pendant que les fossoyeurs du football vont préparer leur grève pour protéger leur poule aux œufs d'or, venez soutenir le spartak à 19h terrain du mont de terre à fives.

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Lien événement facebook !

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 13:42
Entre difficultés financières et répression, le club antifasciste de Minsk est la bête noire du régime biélorusse. Il joue dimanche un match décisif pour le maintien.

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Minsk (Biélorussie), correspondance particulière. Grâce à ses lois iniques et absurdes et à sa répression féroce, Alexandre Loukachenko a presque réussi à faire taire toute forme de contestation dans la société biélorusse. Mais il reste un domaine qui échappe à son emprise : le club de football du Partizan Minsk, un des rares clubs qui n’appartient pas à la poignée d’oligarques aux ordres du régime qui a fait main basse sur ce sport. Avec ses couleurs rouge et blanc (celles de l’opposition) et ses milliers de supporters antifascistes, le club est plus que jamais dans le collimateur des autorités. Sauvé par ses fans l’an passé, le Partizan joue ce dimanche le match le plus important de son histoire : une défaite et il descendrait en division régionale.

Une tragédie pour ce club résistant dont les tribunes sont rapidement devenues le point de ralliement des militants antifascistes du pays. « Une expérience unique en Europe de l’Est », souligne Anna Bolbas, jeune étudiante de vingt-deux ans bombardée présidente cet été, à la tête de ce club fondé en 2002. « À l’époque, les supporters biélorusses étaient soit néonazis, soit apolitiques, explique Andreï, un supporter. Les fans qui voulaient un football sans racisme se sont retrouvés au Partizan. »

Un club de football politisé et antifasciste

Si le club connaît rapidement un succès sportif et populaire, la légende du Partizan Minsk débute en février 2012, après son abandon par son propriétaire, plus en odeur de sainteté auprès des autorités. En multipliant les levées de fonds dans tout le pays, des centaines de supporters réussissent à faire revivre le Partizan. Repartant en division régionale, il devient, selon Anna Bolbas, « le premier club biélorusse sans lien avec le pouvoir ». Surtout, ils le transforment en un club : politisé et antifasciste. Une première en Biélorussie, mais surtout le début des problèmes…

Car depuis son accession au pouvoir en 1994, Alexandre Loukachenko a presque réussi à faire disparaître toute forme de contestation. Dans un pays où il est interdit d’applaudir dans les lieux publics (le 12 septembre un IG Nobel – IG pour ignoble, prix décerné aux actes les plus absurdes – a dénoncé cette décision prise par le pouvoir en juillet 2011) ou de se réunir à plus de trois dans la rue, les activités du Partizan sont mal vues. De plus, le club a créé sa propre ligue de foot en salle et fondé un webzine d’information (www.savvy.by). « Le plus important n’est pas le football, précise Anna Bolbas. Nous avons une mission sociale, lutter contre toutes les discriminations et prouver qu’une contre-culture peut exister en Biélorussie. »

Alors quand le club remonte en troisième division, en mars 2013, la réponse du pouvoir ne tarde pas. Dès le premier match amical, des policiers passent à tabac des supporters. Le début de saison tourne au calvaire. Faute d’avoir un stade aux normes, le Partizan essuie le refus de plusieurs stades d’accueillir ses rencontres et perd plusieurs matchs sur tapis vert. Puis ce sont les ambulances, obligatoires à chaque rencontre, qui sont absentes pour d’étranges « raisons administratives ». Et chaque match du Partizan se joue en présence de forces antiémeute qui décident qui peut accéder aux tribunes. « La police fait ce qu’elle veut », soupire Andreï qui, comme tant d’autres, a goûté aux arrestations arbitraires.

Si dimanche le Partizan réussissait à se maintenir, le club n’a pas encore réuni les 10 000 dollars (7 200 euros) nécessaires à l’inscription en troisième division pour la saison 2014. « Nos fans et notre magasin nous font vivre. Des sponsors veulent nous racheter, c’est hors de question ! », s’insurge Anna Bolbas. Et aucun aménagement ne semble possible avec le régime biélorusse qui serait bien trop content de voir disparaître ce club très encombrant…

Thibault Henry (source)

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 00:08

  libertehebdo.jpg

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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 17:45

Ce vendredi 18 était l’occasion pour deux valeureux coureurs spartakistes de remettre le bleu de chauffe, dans le village de Cysoing. Au programme, la « Course des képis », un 5 km entre macadam et sentiers terreux.

Étienne et Thomas (qui arborait fièrement le tout nouveau maillot du Spartak !) ont donc parcouru les 5 km en une vingtaine de minutes, soit un très bon temps pour cette épreuve. Thomas terminera 15ème en 20'45" et Etienne 28ème en 21'48".

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Prochain rendez-vous le 17 novembre : les Foulées Hellemmoises, arrivent à grands pas !

 

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 13:09

... En Immersion

La saison de football a démarré depuis trois semaines. Trois semaines pour autant de matchs dont les résumés sont disponibles sur notre blog en cliquant sur l'icone en haut à gauche ou en suivant ce lien.

Le voyage et la lecture valent le coup à double titre. La première raison c'est que pour une fois on peut annoncer autre chose que des défaites. La deuxième c'est qu'on fais la promotion d'un jeune talent qui se lance dans l'écriture et gagne vraiment à être connu.

SPARTAKclassement.jpg

Premier après trois journées, personne ne l'aurait parié !

 

les matchsCliquez sur l'image pour accéder aux résumés

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 14:27

Liberté hebdo, sponsor du Spartak Lillois qui nous a déja ouvert ses colonnes à deux reprises (ici et ) est en danger. 

Voici l'appel de l'équipe du journal, il faut se mobiliser pour garantir l'existence de ce journal, garantir l'existence d'une voix alternative à celle des chiens de garde du capitalisme !

 

Liberté Hebdo est en danger immédiat de disparaître du paysage journalistique de notre région. Pourquoi ? Comment ? La vraie question est de savoir si nous, ses lecteurs, ses amis, ceux qui le font, sommes prêts à baisser les bras.

Liberté a survécu à de nombreuses crises et soubresauts parce que la population du Nord et du Pas de Calais avaient besoin d’une information indépendante et de qualité. Ce besoin a-t-il disparu ? Nous répondons NON ! Dans un monde idéal, Liberté n’existerait pas, certes, mais nous ne sommes pas dans un monde idéal, dégagé des contradictions du capitalisme.

Liberté est la voix des sans-voix, la voix des militants qui luttent pour changer ce monde et proposer d’autres solutions. Cette voix ne peut pas se taire. Liberté est la voix de la formation politique pour des générations de militants. Cette voix ne peut pas se taire. Liberté est la voix, le relais, le lien entre de nombreux communistes et militants du Front de Gauche. Cette voix ne peut pas se taire.

L’équipe de Liberté Hebdo invite donc tous ceux qui souhaitent défendre ce journal à venir apporter leur pierre à la réflexion, à l’échange et aux propositions tous les vendredis matins, au siège de la rédaction, 6bis rue Roger Salengro, à Lille-Fives, métro Marbrerie.

La messe n’est pas dite, nous ne baisserons pas les bras. Nous sommes les héritiers de l’Enchaîné, de Liberté, de la Résistance.

L'équipe du Journal

liberte-hebdo.jpg

 

Rendez vous pour faire le point tous ensemble ce vendredi

11 heures à Liberté Hebdo, 6 bis rue Roger Salengro, Hellemmes

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